La bataille de Waterloo

C’est en ce milieu de mois de mai qu’eut lieu l’anniversaire de la bataille de Waterloo. Le 16e régiment d’infanterie légère se rendit avec fierté.

Le vendredi 17 juin en fin d’après-midi, les troupes sont arrivées et ont installé leurs tentes.

Le samedi 18 juin à 7 heures, les tambours ont sonné le réveil. Les soldats du 16e Léger ont pris leur petit-déjeuner et se sont équipés. Avec le 9e et 17e Léger, le 16e Léger a formé le peloton d’infanterie légère et s’est entrainé en formation de tirailleur.

En début de soirée, des coups de canon retentirent, la bataille commença. L’artillerie française échangea de nombreux boulets avec l’ennemie anglais. Après ça, l’état-major ordonna au peloton d’infanterie légère de se positionner en avant et de tester le dispositif ennemi en formation tirailleur. De nombreuses balles sifflèrent. Le peloton d’infanterie légère était à deux pas de l’infanterie légère britannique. Après de nombreuses pertes dans les rangs, l’infanterie de ligne anglaise en profita. L’infanterie légère de part et d’autre recula et laissa place à l’infanterie de ligne. De nombreux feux de bataillon et des charges de cavalerie se succédèrent sous le feu des canons. Le combat était tellement rapproché que les troupes françaises pouvaient entendre la cornemuse des écossais.

Après plusieurs tentatives pour briser les lignes ennemies, l’armée française, bien affaiblie, dû battre en retraite et former le carrée. L’armée anglaise, renforcée par l’armée prussienne, entourèrent le carré français composé en grande partie de la garde impériale. A ce moment-là, l’issue était déjà connue, la bataille était finie. Bien que perdu, la garde impériale tint bon sous les salves puissantes des ennemies. Des dizaines de grognards tombèrent fièrement, jusqu’au dernier, pour l’Empereur et pour la France.

Le dimanche fût une journée similaire au samedi. Une deuxième bataille eut lieu peu avant midi. Bien que l’issue ait été terrible pour l’armée française, le 16e Léger combattu avec honneur et fierté pour l’Empereur.

 

Un grand merci à Mathilde Ardhuin, Geoffrey Vinchon, Hugues de la Fleche, Jean-François Darius pour les photos.